[Hemolytic uremic syndrome with an atypical presentation]

Archives de Pédiatrie, 1996

Refu le 16 a~t 1994; acceptS. I¢ 3 novembre 1995) Les manifestations digestives sent fr~luentes au coats du syndrome I~molytique et uE, mique (SHU) et des complications digestives graves peuvent en ~madler I'~'~olution et engager le pronostic vital. Le but de ce travail a ~t~ d'~tudier de fafon r~aspective Ins atIeintes digestives au com~ du SHU et de d~tenniaer lear place darts le pronostic de la maladie. Ma/ade& -Trente-sept enfants (22 filles et 15 garcons) ~g~s de 4 mois ~t I I ans ant ~.~ inclus darts I'~ude. RK.s, turtm~ -Chez tous Ins enfants sauf un. le SHU a ~t~ ~ de pmdmmes &gesfifs. Diff~'rere.es atteintes digestives ont ~t~ con~ au cou~ de I'~volution : dia.q'h~ sanglante dans 32 % des cas, invaginafion il6o-if&de &ms 3 %, pmlapsus rectal darts 8 % et signes biologlques de cytolyse ~ darts 38 %. L'~'volutioo de la dian~e sanglante a ~t6 s~v~re chez sept enfants, entrai'nant le d~x~s chez I'un d'entte eux. La comparahon de ~ groupe av~ Ins 30 autres enfants a pennis de d~gager des facteuw pt6dictifs d'at~in~e digestive s~v~te : sexe f6minin, prodromes digestifs de duroc ~ existence d'un ~ reck, hombre ¢~lev¢~ de leucocytes et de polynucl6aires neutrophiles dans Ic ssng et anemic moins profonde lots de !'admission. La gravit6 de I'atteinte digestive 6mit pesitivement conel6e ~ la s~v~rit~ de I'av, einte r~nate initiale mais 6galement t distance de la phase aigu~. ConclmioL -La raise au repos pr~coce du tube digestif Iorsqu'il existe des facteurs pthiictifs de leur survnnue pourrait permettte de p~venir Ins complications digestives ; celles-ci ~ntent toutefois des e'E, ments de rtmuvals pronestic t~nal. Summary -Gastrointestinal maua'estaflous of hemolye¢ uremk s~jmdrome in dliklrem. Baek~ -Gastro-intestinal manifestations are relatively frequent during the course of hemolytic uremic syndrome (HUS), some of them requiring special supportive c~e. This work wus aimed at retrospectively studing gastrointestinal manlfestntions of HU$ and determining their place in the prognnsis. P~.er_@. -Thlrfy-¢.eve, children ~ed 4 m.~ntl~ m I l years (22 eids and 15 boy.s) were included in the s~y. Rnsu/t,t'. -All children but one had gastrointestinal prodromos. During the course of HUS, various manifestations were seen : bloody diarrhea in 32% of patients, ileo-ileal intussusception in 3%, rectal prolapse in 8°/o and hepatic cytolysis in 38%. Seven patients with bk~ty diarrhea had a complicated course, lethal in one. Comparison between these seven children and the 30 others revealed some i~cators of severe gut involvement : female sex, short duration of gastrointestinal prodromns, hemorrhagic colitis with rectal prolapse, high WBC coun~ high neatraphils count and less importam¢ degree of anemia at a~.nis~ion. Severity of the gastrointestinal lesions was correlated with that of the outcome of the renal dise~tre. Coneinslom. -Gastrointestinal tract is frequently affected in HUS and severe complications can appear, potentially leading to death. Total parenteral nutrition could prevent occurrence of gastrointestinal complications. Severe gastrointeslinal lesions are associated with a poor renal outcovr~. hemo~.urendc syndrome I diarrhea / colitis / intt~ I rectal prolapse I hepetitis I clnM * Correspondance et tir6s ~ part: P Tounian. meme adresse.

PubMed, 2001

Polycystic liver disease, which is generally part of the autosomal dominant polycystic kidney disease, is often asymptomatic. We report a case of obstructive jaundice caused by compression of the biliary tract by a large haemorrhagic liver cyst. The patient was a man with sporadic polycystic liver disease without polycystic kidney disease and with normal renal function for his age. Ultrasound combined with cholangio-MRI provided non-invasive confirmation of intracystic bleeding and intrahepatic biliary dilatation. Obstructive jaundice was confirmed by cyst puncture-aspiration which resolved symptoms and normalized biology. The initial treatment of haemorrhagic liver cyst complicating polycystic liver disease must be medical with cyst aspiration-drainage and sclerotherapy to avoid surgery in these fragile patients.

Progrès en Urologie, 2008

L'hémorragie sous-muqueuse de la paroi urétérale lors d'un traitement par anticoagulant est une complication rare. Nous rapportons le cas d'une patiente de 57 ans ayant une hématurie macroscopique associée à des douleurs lombaires bilatérales dans le cadre d'un surdosage aux antivitamine K (AVK). Le TDM abdominopelvien a permis de faire le diagnostic rétrospectivement après un bilan urologique exhaustif négatif. L'évolution a été favorable après correction rapide des troubles de l'hémostase.

Journal Africain d'Urologie, 2021

Introduction: L'urètre n'est pas une localisation fréquente des lithiases. Beaucoup d'études rapportent des cas cliniques ou des séries limitées. L'objectif de cette étude était de montrer la fréquence de cette affection dans notre pratique. Patients et méthode: Il s'agissait d'une étude rétrospective descriptive portant sur tous les patients pris en charge pour lithiase urétrale dans notre structure entre le 1er Juin 2012 et le 30 Juin 2016. Résultats: 106 cas de lithiases urétrales ont été diagnostiqués et traités. Cette localisation a représenté 14, 54% de l'ensemble des urolithiases (n=729) et 3, 13% des interventions urologiques durant la période (n= 3384). L'âge moyen des patients était de 14, 24 ans avec des extremes de 1 et 68 ans. Le sex ratio était de 7, 15 en faveur des hommes. Le motif de consultation était la retention aiguë d'urines dans 66, 98% des cas (n=71). Le calcul était palpable dans 83, 02% (n=88) des cas. Le traitement a consisté à une cystolithotomie après réfoulement du calcul dans la vessie dans 74, 53% (n=79) des cas, à une extraction instrumentale dans 21, 70% (n=23) des cas et à une urétrolithotomie dans 03, 77% (n=4) des cas. L'urètre était permeable à l'ablation du calcul dans tous les cas. Conclusion: La lithiase enclave dans l'urètre n'est pas une affection rare dans notre pratique. Elle doit être évoquée devant une retention aiguë d'urines chez l'enfant et l'adolescent.

le Sahel méridional a connu une forte urbanisation aussi bien à l'époque antique que médiévale, malgré des conditions climatiques parfois contraignantes. Le nombre considérable de sites correspondant à des villes antiques (Leptiminus, Thapsus, Gummi, Sullecthum, Aggar( ?), Tegea( ?), Vaga, Thysdrus, Acholla, Sarsura, Hr Bou Chabib, etc.) et à des villages médiévaux (Jammal, Beni Hassan, Moknin, Amira, Khawlan, Boumerdès, Jebeniana, etc.) en témoigne. La majeure partie des villes (Aggar, Vaga, Sarsura, Hr Bou Chabib, Oglat Khira) et des villages (Amira, Khawlan, Ksour Essaf, Guechana, etc.) ont été bâtis sur des monticules au voisinage des bas fonds des vallées et des plaines, parfois à peu de distance des lits des oueds. Bien que certaines villes antiques occupent des lieux élevés, une partie de leur périmètre n'est cependant pas tout à fait à l'abri du risque d'inondation lors des grandes pluies, ce qui explique en grande partie leur abandon au Moyen âge pour un autre lieu plus sécurisé. D'autres villes antiques Thapsus, Gummi, Aggar ( ?), Sullecthum, Tegea ( ?), Vaga, Sarsura, et ont érodé des structures maçonnées situées aux limites du périmètre des villes, ce qui permet de retenir la dynamique des cours d'eau.

Archives de Pédiatrie, 1999

Data Revues 07554982 V42i3 S0755498212002084, 2013

Déclaration d'intérêts : les auteurs déclarent ne pas avoir de conflits d'intérêts en relation avec cet article.

Pan African Medical Journal, 2016

Syndrome hémolytique et urémique de l'enfant au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Dakar: à propos de quatre observations Hemolytic-uremic syndrome (HUS) in children at the University Hospital

La Presse Médicale, 2017

Vascularite hypocomplémentémique urticarienne associée à une glomérulonéphrite membrano-proliférative sévère et polyadénopathies tome xx > n8x > xx 2017 Pour citer cet article : Gheerbrant H, et al. Vascularite hypocomplémentémique urticarienne associée à une glomérulonéphrite membrano-proliférative sévère et polyadénopathies. Presse Med. (2017),

EMC - Vétérinaire, 2004

C. TRUMEL (Maître de conférence, département des sciences cliniques des animaux de compagnie) c.trumel@envt.fr N. BOURGES-ABELLA (Maître de conférence, département des sciences biologiques et fonctionnelles) A. DIQUELOU (Maître de conférence, département des sciences cliniques des animaux de compagnie) École nationale vétérinaire, 23, chemin des Capelles, 31076 Toulouse cedex, France.