Videos by William Van Andringa
We see the team at work and a presentation of the history of this settlement which has changed a ... more We see the team at work and a presentation of the history of this settlement which has changed a little since then. The village is now dated to the year 1000 and the Romanesque church to the first half of the 11th century. 84 views
Papers by William Van Andringa
Après un premier triennal achevé en 2020, le Projet collectif de recherche (PCR) sur l'antique Lu... more Après un premier triennal achevé en 2020, le Projet collectif de recherche (PCR) sur l'antique Lugdunum des Convènes structure désormais toute une série d'activités de recherche, de formation et de valorisation qui participent, dans le cadre d'une programmation étalée sur toute l'année, à une réflexion générale sur un territoire rural d'aujourd'hui soumis aux changements que nous connaissons 89. Le programme scientifique participe en effet aux efforts de valorisation du territoire de Saint-Bertrand-de-Comminges en accompagnant la réflexion sur le projet actuel Grands Sites mené par le

région Occitanie. 2. W. Van Andringa, « Urbs nova. La ville du iv e siècle en Gaule », dans Acade... more région Occitanie. 2. W. Van Andringa, « Urbs nova. La ville du iv e siècle en Gaule », dans Academia Libertas. Essais en l'honneur du professeur Javier Arce, Brepols, 2020, p. 247-263. 3. Pour une définition de l'archéologie recentrée sur le terrain et l'humain, voir W. Van Andringa, Archéologie du geste. Rites et pratiques à Pompéi, Paris, 2021, p. 9-31. 4. W. Van Andringa, « Le monument et la tombe. Deux façons de mourir à l'époque romaine », dans M.-D. Nenna, S. Huber et W. Van Andringa (éd.), Constituer la tombe : honorer les défunts en Méditerranée antique, Alexandrie, Centre d'études alexandrines, 2018 (Études Alexandrines, 46), p. 381-402 ; également W. Van Andringa, Archéologie du geste, note 3, p. 151-171. 5. S. Balcon-Berry et W. Berry, « Le site de Saint-Pierre-l'Estrier d'Autun dans l'Antiquité tardive. Remarque sur le rapport entre l'évolution cimétériale et le cadre architectural », dans N. Achard-Corompt, M. Kasprzyk et B. Fort (dir.), L'Antiquité tardive dans l'Est de la Gaule, II. Sépultures,
L'organisation des espaces dans les sanctuaires grecs et romains s o u s l a d i r e c t i o n d ... more L'organisation des espaces dans les sanctuaires grecs et romains s o u s l a d i r e c t i o n d e S a n d r i n e H u b e r e t W i l l i a m V a n a n d r i n g a
l'archéologie du territoire de Saint-Bertrand-de-Comminges sous un jour nouveau, offrant ainsi au... more l'archéologie du territoire de Saint-Bertrand-de-Comminges sous un jour nouveau, offrant ainsi au public les résultats d'une enquête en cours menée dans le cadre d'un projet scientifique ambitieux.

Directeur de recherche à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes Qu'est-ce qu'un souverain ? L'êquival... more Directeur de recherche à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes Qu'est-ce qu'un souverain ? L'êquivalentd'un dieu L'action politique implique souvent la construction d'un langage spécifique-le pouvoir étatique nest-il pas une relation sociale hors norme ?-qui suscite immanquablement des contradictions et des débats sans fin. L'Empire romain ne fait pas exception à la règle: il nous a légué des témoignages littéraires, épigraphiques et archéologiques apparemment contradictoires sur des cultes-il s'agit bien en effet de religion-rendus à l'adresse de l'empereur vivant alors que les règles religieuses romaines rendaient impensable toute assimilation du prince à un dieu, qui plus est dans le contexte affirmé par le nouveau pouvoir politique d'une restauration de la République et de ses cultes et valeurs traditionnels. En vérité, on jouait sur les mots. Diviniser l'empereur allait de soi lorsqu'on s'adressait à lui dans le contexte religieux romain, même si la position officielle était claire : l'empereur n'était pas un dieu, du moins de son vivant. On rendait simplement compte, de manière performative, de la place d'un homme exceptionnel par la fonction quil revêtait, à la tête d'un Etat grand Comme le monde. Cette contradiction de nos sources qui font de l'empereur un dieu ou plutôt l'équivalent d'un dieu relève donc au fond d'une formalisation du pouvoir selon les principes rituels de hiérarchisation divine établis par le système polythéiste : le sacrifice et l'apparat liturgique permettaient de distinguer l'empereur comme ils permettaient de distinguer les dieux. On comprend alors la maxime énoncée sur un papyrus du II siècle ap. J.-C.: qu'est-ce qu'un dieu ? L'exercice d'un pouvoir. Qu'est-ce qu'un souverain ? L'équivalent d'un dieu.
Uploads
Videos by William Van Andringa
Papers by William Van Andringa