Women and the Task of Caregiving in the Old Testament
Journal of theology for Southern Africa
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Abstract
This article examines the role of women in caregiving in the Old Testament and the outcomes/impact of the task on them. It relies on a literature review of related topics to engage in a textual analysis of passages in which women are portrayed as caregivers and to relate this to the responsibility of caregiving on women today. To a large extent, the approach is interdisciplinary as it draws insight from social medicine and healthcare resources but because in the discussion both gender and health intersect (with religion), its findings may have implications for gender and feminist studies.
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In his De morborum causis Galen presents the very moment of childbirth, in order to emphasise that the midwife's act of reception is instrumental in preventing malformations of the infant's " humid " limbs; nurses are also responsible for future malformations. The role of the midwife as the physi-cian's assistant with female patients is stressed by Hippocrates and Sora-nos. The French Renaissance physicians Simon de Vallambert, Jacques and Charles Guillemeau refer to Galen in order to criticise the incompetence of midwives and nurses, as opposed to biological mothers, who have to breast-feed their babies because nurses lack moral integrity. Galen's commentator François Valleriole explains that nurses swaddle girls differently from boys because they aim at artificial (immoral) beauty. Leonhart Fuchs underlines that improper swaddling causes girls to lose their femininity. Thus, medical commentary changes into moralising remarks in order to maintain the moral and social status quo concerning women.
Archives de sciences sociales des religions
Revue Mabillon, 2018
* Cet article est la version remaniée d'une étude qui paraîtra en anglais dans la Cambridge History of Medieval Western Monasticism sous la direction d'Alison Beach et d'Isabelle Cochelin. Je remercie vivement Isabelle Cochelin d'avoir suscité cette recherche et d'avoir accompagné son développement. Mes remerciements vont également aux relecteurs anonymes de la Revue Mabillon et à Charles Mériaux. 1. Nous ne traitons pas ici des « diaconesses » et de la question très débattue de l'exercice d'un ministère clérical par les femmes. Pour une mise au point historiographique voir Gary MACY,
Contrary to appearances, Tabligh is not just a men's movement. Women are a major piece in the work of preaching (Dawa). Yet women are invisible: they do not participate in Gasht or Jawla (tour group), do not preach door to door as men. When they leave their house, it is under thick burqas (full veil) to disappear soon arrived in the foster home and no get out once the men khourouj is finished. Their freedom of movement is more than limited. And their participation in the work of Tabligh virtually nonexistent. Even the canonical texts of the movement remain silent on the missionary work of women. Nothing that can foreshadow any activity. This is why the Tabligh has long been perceived as sex segregated and unequal. The participation of women in TJ has long been ignored by Western research, a negligence which can also be attributed to the derogatory images of Muslim women in the imaginary of non-Muslim Westerners. Barbara Metcalf has put an end to this huge gap in the 1990's. Her analyzes on women in Tabligh marked the research on the movement. Simply yet to participate in women's programs to realize the importance that was given to women by the founders of the movement in a search for efficiency Les thèses de Barbara Metcalf sur la dimension féminine du mouvement. Elle a montré comment les femmes accédaient, en participant à la dawa, à de nouveaux rôles sociaux, comme enseigner, démarcher, convaincre, discuter sur les mérites de la religion, rôles qui étaient traditionnellement dévolus aux hommes et inaccessibles à elles. Alors qu'il était apparemment difficile d'admettre que le TJ puisse offrir aux femmes une manière d'exprimer leur agency, Barbara Metcalff a bouleversé les conceptions qui voient dans le processus de réislamisation une régression, une aliénation féminine. Des femmes pointées comme délaissées par les tablighis plus prompts à s'engager dans les khourouj qu'à assumer leurs responsabilités familiales. Certains objectent que cette participation des femmes, certes consentie mais procédant d'une autoaliénation, en porte à faux avec les thèses de Metcalf. On peut effectivement comptabiliser les encouragements, les injonctions faites aux femmes à rester chez elles, de stigmatiser leurs déplacements, un modèle féminin peu enviable. Soumises ou libres, autonomes ou dépendantes, les femmes du Tabligh font l'objet de nombreuses projections dans lesquels partisans et détracteurs du mouvement d'affrontent. Les femmes étant comme dans les autres discours sur l'islam brandies comme argument à charge ou à décharge selon qu'on est détracteur ou partisan du mouvement. Alors les femmes tablighies victimes ou gagnantes ?
UQÀM Dans les pays du Proche-Orient ancien, la divination était pratiquée sous plusieurs formes. Que ce fusse pour lire les présages envoyés par les astres, recevoir un message par les songes ou par l'haruspice ; l'humain a toujours eu besoin d'obtenir une réponse de la part du divin. Nous avons pu obtenir des traces de ces pratiques par les tablettes d'argile qui ont survécues des siècles pour se rendre jusqu'à nous. Sachant qu'il était courant autant en Mésopotamie qu'en Égypte, d'utiliser ces pratiques, on ne saurait être surpris qu'en territoire ancien d'Israël les pratiques aient été similaires. En effet certains chercheurs savent aujourd'hui que les pratiques «magiques» étaient bien ancrées dans la culture de ces anciens peuples, à l'image de leurs voisins, notamment avec la pratique de l'extipicine, la cléromancie, la nécromancie et la prophétie1. De ce fait, on retrouve donc dans l'Ancien Testament de nombreux passages indiquant la présence de ce type de pratiques malgré les textes qui en dénoncent aussi l'utilisation. Comme ce travail ne saurait prétendre étudier l'ensemble de la divination présente dans les textes bibliques, nous étudierons le cas des pratiques chez les femmes. Effectivement, il est intéressant de constater que, dans la littérature biblique, beaucoup de femmes sont dépeintes comme ayant accès au savoir divin sous plusieurs formes2 On retrouve des prophétesses telles Myriam (Mi 6 :4), Deborah (Jg 4 :4), Noadya (Ne 6 :14) et Houlda (2 R 22) et des femmes mystérieuses sans noms telle la sage de Tekoa (2 S 14)
Uniwersytet Kardynała Stefana Wyszyńskiego w Warszawie, 2019
La valeur de la fecondité dans la famille antique à la lumière des textes patristiques (commentaires de Lc 1, 26-38 et Lc 2, 22-40) Wartość płodności w rodzinie antycznej w świetle tekstów patrystycznych (komentarze do Łk 1, 26-38 i Łk 2, 22-40
2025
Ce livre explore les représentations de trois femmes étrangères, plus particulièrement leur relation au mourir et au nourrir, dans la Bible hébraïque à partir de méthodes avant tout littéraires et d’approches féministes, postcoloniales et queer. Les personnages à l’étude sont les suivants: Yaël (Jg 4,17-22; 5,24-27), Jézabel (2 R 9,22.30-37) et la femme folle (Pr 9,13-18). La mise à mort et le repas font partie de la mise en scène de chacune d’entre elles dans le livre des Juges, le Deuxième livre des Rois et le livre des Proverbes. Une interrogation guide l’ensemble de l’enquête exégétique présentée: de quelles manières les dimensions mortifère et nourricière de la caractérisation de chaque femme participent-elles à la construction de leur féminité et de leur statut d’étrangère?
Sciences sociales & santé, 2007
Le phénomène global de la « délivrance » qui accompagne l’explosion des pentecôtismes ouest-africains depuis le début des années quatre-vingt-dix a contribué à placer la demande de guérison au centre des itinéraires de conversion. Cependant, la posture de certaines Églises pentecôtistes en Afrique de l’Ouest, pour le moins ambivalente, pousse les malades à se diriger vers les « guérisseurs » les plus réputés qui, sur le modèle des ministères de prière, n’hésitent pas à s’inscrire dans un créneau laissé vacant par les Églises, affirmant que leurs prières guérissent « toutes les maladies », y compris le sida. Si les nombreux travaux sur le sida font état de la stigmatisation des femmes, la place des Églises pentecôtistes dans les itinéraires de guérison a moins souvent retenu l’attention. Cette contribution tente de clarifier les modalités atypiques sous lesquelles cette maladie est désignée et comment les catégories chrétiennes de la sorcellerie et de la guérison divine attribuent à la femme le rôle principal dans les représentations sociales et magiques de la maladie.
Renaissance and Reformation/Renaissance et Réforme. (Victoria University, Toronto) 22/4 (1998) : 27-47. , 1998
Pour une lecture féminine de la Bible à la Renaissance: socialisation et principes herméneutiques dans trois traités anonymes mis à l'Index
Transversalités, 2015
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